La Liseuse de Rêves

La liseuse n'est qu'heureuse

Qu'avec un livre à la main.

Une lecture chaque matin ;

Le regard dans un bouquin,

Laissant vagabonder son esprit

A chaque ligne qu'elle lit.

Chaque mot est si délicat et précieux

Donnant vit à des Etres merveilleux.

Ce qu'elle affectionne plus que tout :

Les contes se rapportant beaucoup,

Aux légendes mystérieuses qu'elle aime

Retrouver dans tous ses rêves.

J’écarte les bras, je fais un pas et je m'élève dans le ciel,

Léger comme un ballon, je plane suivant les nuages.

Je vais au gré du vent parmi les hirondelles,

Tout est si paisible et la nature m'offre son paysage.

C’est un univers incroyable où je laisse place au hasard,

Je contemple ce spectacle aux ardeurs si bizarres.

Voir s’éparpiller et s’affairer de petits personnages,

De plus en plus petits qui demeurent dans des villages.

C’est un monde très troublant, et pourtant si charmant !

Je me plais ici où je ne suis que pour un temps,

Je veux rester en cet endroit mais dois regagner.

C'est une certitude, je sais que demain j’y retournerai !

Sans aucune inquiétude alors, je me laisse aller...

Lentement, je baisse les bras commençant à descendre.

Doucement, je mets pied à terre et sans plus attendre

Je suis arrivée... Bientôt, le réveil va sonner !

Voici le joli mois de Mai

Où fleurit le beau muguet.

Offrir à sa bien aimée,

Un magnifique bouquet ;

Un témoignage d’amour.

Qui ne dure qu’un jour !

Une senteur éternelle

Pour une fleur si belle.

C’était le temps des pirates et des guerriers,

Des combats entre dragons et chevaliers.

Belinda n’avait pas terminé son enfance,

Vivait seule dans une maison blanche

Entouré d’animaux doux et tendres :

Un petit chaton noir nommé ’’L’encre’’,

Un chien jaune prénommé ’’La Moutarde’’

Qui se montrait idéal pour la garde,

Et une petite souris grise appelée ’’Clignote’’

Aimant formage et fichu qu’elle grignote.

Le dernier de ses compagnons

Etait sans compté son favori

Et malgré son caractère bizarre,

Il restait son plus fidèle ami.

C’était un minuscule dragon

Surnommé ’’Custard’’

Qui signifiait ’’crème anglaise’’.

Car peureux et lâche il était,

Dans sa cage il était comblé car,

Etait sûr d’y être en sécurité.

Etonnant pour un dragon aillé,

Possédant de grandes dents aiguisées,

Une bouche enflammée comme une cheminée

Et des orteils taillées comme des poignards.

Un jour, soudainement,

Belinda et toute sa maisonnée

Entendirent un son méchant… 

à suivre dans mon prochain recueil publié en 2013…

pour lire la suite des aventures de Bélinda et de Custard.

POEME

C’est quoi : un poème ? 

Une véritable lubie !

Un brin de fantaisie,

Un zeste d’humour,

Une recherche de mots,  

Parmi les plus beaux.

Lire des proses

Et rêvasser en pause.

Relater des récits d’amour

Qui durent toujours.

Retenir des histoires

Qui donnent espoir.

C’est ça un poème !